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Kitétsé

                               Résumé paracha

Que les choses soient claires, j'ai décidé de mettre de côté le début de la paracha. Pour quelle raison me demandez vous ?

Tout simplement parce qu'elle parle de la guerre et moi la guerre je n'aime pas.

Alors on est parti.

Cette semaine je vous emmène explorer notre paracha dans un tank, juste un petit coup d'œil au début de la paracha pour qu'il ne sente pas trop seul et ne soit pas trop triste.

Notre tank a pour nom : Ki tétsé et grâce à lui, la Torah nous détaille encore et encore toutes les mitsvot qui la renferme, avec cette semaine une particularité….

Et oui, les mistvot dont elle nous parle sont un peu spéciales dirons nous, on ne les met pas en pratique aussi souvent que le chabbat, la cachrout etc….

Non, la Thora nous parle du fils rebelle, c'est-à-dire d'un fils qui s'est révolte et de la mitsva de : Chiloua'h haken – c'est a dire pour pouvoir prendre des oisillons il faudra auparavant renvoyer la mère.

Notre tank avance tout doucement vers les mitsvot qui concernent notre vie de tous les jours.

C'est y quoi tout ça, pas d'inquiétude je vous explique…

Par exemple, quoi faire si l'on trouve un objet dans la rue, le remettre à son propriétaire est une grande Mitsva.

Un autre exemple, nous apprenons toutes les lois sur le divorce….

Et puis et surtout on apprend comment nous devons nous conduire avec des personnes qui sont plus faibles que nous comme les pauvres, les malades, les veuves et les orphelins…..

Notre tank nous emmené vers la fin de notre paracha. Et là ! Hachem nous ordonne d'exterminer 'Amalek, l'ennemi public numéro 1 du peuple d'Israel.

Car il faut se souvenir de ce que nous a fait 'Amalek à notre sortie d'Egypte. Nous étions fatigués de l'esclavage et lui, dans sa grande cruauté, nous a tout de même attaqué.

Et voilà, je vous souhaite Chabbat Chalom et je vous dis bli neder à la semaine prochaine.

 

 

 

                                  

 

 

                Étude en famille

 

- Je n'écris plus depuis déjà quelques temps, je n'en ai vraiment plus la force ! Mais lorsque j'ai reçu les remarques de votre fils, j'ai pensé en moi-même qu'il risquerait de croire : "J'ai aidé le Rav durant des années, s'il ne répond pas à ma lettre, c'est certainement, parce que nous avons arrêté nos transactions et qu'il n'a plus besoin de moi !"

 

J'ai donc fait un grand effort sur moi-même pour lui répondre, mais la vérité est que c'est mon devoir de lui écrire, non pas parce que ce n'est pas bien de ne pas répondre aux lettres, mais à cause de la reconnaissance que j'éprouve envers lui. Et je dois écrire de tout mon cœur et avec toute ma reconnaissance.

C'est la réponse que donna le Steipeler (zatsal) au père d'un ancien bienfaiteur avec qui il correspondait souvent et ce durant plusieurs années. Les problèmes du peuple étant ce qu'ils sont, le Steipeler ne pouvait plus correspondre. Pourtant, devant une certaine situation d'urgence, il mis tout son cœur et surtout toute sa reconnaissance pour répondre à nouveau.

"C'est la raison pour laquelle j'ai réécrit cette deuxième  lettre : je l'ai réécrite en éveillant en moi le sentiment de reconnaissance que je lui dois…"

Le Rav Nissim Yaguen (zatsal) cite le verset suivant afin d'appuyer cette idée de reconnaissance.

"Ne jette pas de pierre dans le puits duquel tu as bu." Et il précise que cet avertissement ne nous a pas été donné afin de ne pas "blesser" le puits, car les puits ne se vexent pas… mais dans notre intérêt, afin de ne pas altérer notre sentiment de reconnaissance.

Le Rav Dessler (zatsal) explique : le devoir de reconnaissance est une obligation morale et humaine pour celui qui a reçu d'autrui, il se doit d'éveiller en lui ce sentiment normal et humain envers quiconque lui a accordé un bienfait.






 

בס"ד

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